Réponse de Jean Louis Rousselin (XI) : Sur la cuisine centrale
Mutualisation : Nous n’avons pas attendu les idées de mutualisation de notre adversaire : nous fabriquons actuellement un peu plus de 500 repas pour un équipement en capacité d’en produire au moins 800. Nous avons souhaité consacrer cette première année de mise en service à l’appropriation de ce nouvel équipement par nos équipes.
Deux communes sont intéressées pour que nous les livrions. Nous devons établir les prix de revient de nos productions pour permettre de facturer le juste prix du repas livré (incluant les fournitures, le matériel, le coût du personnel et la livraison). La démarche EGALIM nous aide dans cette approche financière analytique.
Les 2 tonnes perdues : un incident lié à une porte ouverte a entrainé la perte de quelques marchandises (le constat photographique a été fait par notre police municipale) dont la valeur était inférieure à 500 euros et bien au-dessous des deux tonnes mentionnées. Des actions correctives ont été mises en place pour qu’un tel incident ne se reproduise plus.
La laverie n'est toujours pas en service : nous avons souhaité centraliser le lavage des linges et vêtements de travail de tout notre personnel en un seul lieu, ce qui n’était en rien obligatoire et avons donc créé cette lingerie non prévue dans le programme initial de cuisine centrale. La mise en service de la lingerie est prévue dans le courant de l’année.
Malfaçons au niveau des évacuations ,,,,,,,, la campagne de notre adversaire prend de la hauteur et revient à ses amours …. Nous invitons notre adversaire à nous montrer où se situe le problème dont personne (d’autre que lui qui n’est jamais rentré dans cette cuisine) n’a connaissance.
De manière générale, nous avons à plusieurs reprises mis en avant le professionnalisme des équipes de cuisine et de service aux repas, qui se sont parfaitement adaptées et formées à cette nouvelle façon de fabriquer les repas.